L'amoureuse
Elle est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens,
Elle a la forme de mes mains,
Elle a la couleur de mes yeux,
Elle s'engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire
Paul Eluard
(Capitale de la Douleur) (N.R.F.)
Le Berger Serviteur
Où le romarin fleurit il ya une sombre fontaine
marcher là où mon destin il ya un fil de la peur
Ce que j'apprends moi n'importe quelle direction
quel est mon vrai nom, je ne sais toujours pas
Quand la lune perd la laine et la façon dont le moineau
Quand chaque ange et de la chaîne et chaque chien aboie
Prenez votre tristesse dans sa main et dans la rivière soffiala
vêtements de feuilles et de couvrir vos douleurs de plumes
Au dessus de chaque kyste d'ici à la mer, il est un peu 'de mes cheveux
sur chaque conception de liège de tous mes couteaux
l'amour l'amour l'habit blanc des maisons
Je n'ai jamais connu et je n'ai jamais trahi
Mon père, ma mère un faucon sur la colline sont une botte de foin
leurs yeux suivent fond ma lune
nuit nuit nuit tout seul comme mon feu
plie sa tête sur mon cœur et de l'éteindre peu à peu
Elle est debout sur mes paupières
Et ses cheveux sont dans les miens,
Elle a la forme de mes mains,
Elle a la couleur de mes yeux,
Elle s'engloutit dans mon ombre
Comme une pierre sur le ciel.
Elle a toujours les yeux ouverts
Et ne me laisse pas dormir.
Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire
Paul Eluard
(Capitale de la Douleur) (N.R.F.)
Le Berger Serviteur
Où le romarin fleurit il ya une sombre fontaine
marcher là où mon destin il ya un fil de la peur
Ce que j'apprends moi n'importe quelle direction
quel est mon vrai nom, je ne sais toujours pas
Quand la lune perd la laine et la façon dont le moineau
Quand chaque ange et de la chaîne et chaque chien aboie
Prenez votre tristesse dans sa main et dans la rivière soffiala
vêtements de feuilles et de couvrir vos douleurs de plumes
Au dessus de chaque kyste d'ici à la mer, il est un peu 'de mes cheveux
sur chaque conception de liège de tous mes couteaux
l'amour l'amour l'habit blanc des maisons
Je n'ai jamais connu et je n'ai jamais trahi
Mon père, ma mère un faucon sur la colline sont une botte de foin
leurs yeux suivent fond ma lune
nuit nuit nuit tout seul comme mon feu
plie sa tête sur mon cœur et de l'éteindre peu à peu
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